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❌ La consommation d’alcool et substances psychoactives (drogues, médicaments) altèrent fortement les capacités à conduire.

❌ La fatigue : les longues heures de conduite, surtout après une journée de travail, augmentent le risque de somnolence au volant
👉 D’autant plus en cas de conduite en horaires décalés ou de nuit !

❌ Le stress : les délais serrés, les conditions de circulation difficiles et les pressions professionnelles peuvent accroître le stress des conducteurs, affectant leur vigilance et leur réactivité.

❌  La santé du conducteur influence directement la capacité à conduire. Conduire exige en permanence une mobilisation des capacités de perception, d’analyse et de décision, ainsi qu’une utilisation coordonnée des membres pour réagir rapidement. Des problèmes de vue ou d’ouïe, des pathologies cardiovasculaires ou neurologiques, des douleurs, certains handicaps ou la prise de médicaments peuvent compromettre cette mécanique complexe, rendant la conduite potentiellement dangereuse.

❌ La charge de travail : une charge de travail excessive peut pousser les employés à prendre des risques sur la route pour respecter les échéances professionnelles.

❌ La vitesse excessive
💡 Le saviez-vous ? La vitesse est responsable de 28% des accidents mortels sur la route !

❌ Les distractions (ex : téléphone portable)
💡 Le saviez-vous ? Le Bluetooth n’est pas un équipement de sécurité, au contraire il incite et facilite les conversations longues au volant.

❌ La mauvaise maintenance des véhicules : des véhicules mal entretenus peuvent présenter des défaillances techniques (freins, éclairages, pneumatiques, etc.), augmentant les risques d’accidents.

❌  Les mauvais équipements de sécurité : l’absence ou la non-utilisation d’équipements de sécurité comme les ceintures de sécurité, les systèmes de freinage assistés, etc., peuvent aggraver les conséquences des accidents.

❌ Le transport de charges non arrimées peut tuer sur la route même lors d’un petit choc à 50 km/h.

❌ Les conditions météorologiques

✅ Evaluer les risques routiers professionnels dans le Document Unique est crucial.

✅ Organiser le travail pour réduire le risque routier (limiter le nombre de kilomètre, durée de conduite, nombre de salariés concernés, sectoriser géographiquement l’activité, optimiser les tournées, etc.).

✅ Formaliser toutes les règles de l’entreprise concernant le risque routier dans un document écrit, adapté, communiqué, mis à jour et appliqué par l’ensemble des personnels concernés.

✅ Aménager des horaires de travail : adapter les horaires pour éviter les heures de pointe et réduire le stress lié à la conduite.

✅ Entretenir les véhicules : assurer un entretien régulier des véhicules utilisés pour les déplacements professionnels et veiller à ce que les véhicules soient équipés des dispositifs nécessaires

✅ Vérifier périodiquement, pas uniquement à l’embauche, la validité du permis de conduire des personnels itinérants (via une attestation sur l’honneur).
💡 Le saviez-vous ? Vous pouvez régulièrement demander à vos salariés de justifier qu’ils possèdent toujours leur permis de conduire (si l’activité professionnelle nécessite la conduite d’un véhicule). 

✅ Promouvoir des modes de transport alternatifs : encourager l’utilisation des transports en commun, du covoiturage, ou des moyens de transport doux comme le vélo, etc.
💡 Pensez également à la mise en place du télétravail pour diminuer les trajets ! 

✅ Appliquer la tolérance zéro concernant le téléphone au volant.

✅ Former à la sécurité routière : proposer des formations régulières pour sensibiliser les employés aux bonnes pratiques de conduite et aux dangers.

A l’occasion de la prochaine édition des journées de la sécurité routière au travail nous vous proposons deux webinaires : 

🔎 Webinaire employeurs
Employeurs, agir sur les risques routiers professionnels
📅 Le 28 mai à 10h
👉 Inscriptions et programme

🔎  Webinaire salariés
Salariés, sur la route, sensibilisez-vous au risque routier
📅  Le 30 mai à 10h
👉 Inscriptions et programme