Janvier, mois des bonnes résolutions… et du Dry January ! Mais pourquoi relever ce défi d’un mois sans alcool ? Et quel impact sur la santé au travail ?
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Janvier, mois des bonnes résolutions… et du Dry January ! Mais pourquoi relever ce défi d’un mois sans alcool ? Et quel impact sur la santé au travail ?
Un mois sans alcool pour recharger les batteries après les fêtes. Lancée en 2013, cette initiative internationale aide à repenser notre rapport à l’alcool tout en boostant santé et bien-être.
Même une consommation modérée peut nuire : fatigue, baisse de concentration, irritabilité… Participer au Dry January, c’est l’occasion de se sentir mieux, d’être plus efficace et de renforcer sa productivité.
✅ Concentration au top : Mieux dormir, c’est mieux travailler
✅ Énergie boostée : Le corps se régénère sans toxines
✅ Moins de stress : On gère les tensions autrement
✅ Ambiance d’équipe : Un défi collectif renforce la cohésion
L’alcool au travail, même de manière indirecte, engendre des coûts importants pour les employeurs : absences, accidents, baisse de performance. Le Dry January offre l’opportunité de :
💡Le saviez-vous ?
L’employeur est autorisé à réaliser un contrôle d’alcoolémie sur ses salariés, mais cette mesure doit être prévue dans le règlement intérieur ou dans une note de service. Ce contrôle doit impérativement se dérouler en présence d’un tiers, tel qu’un membre du CSE. Par ailleurs, il doit être justifié par la nature du travail exercé par le salarié. Si un état d’ébriété potentiel présente un danger pour la sécurité des personnes ou des biens, le contrôle devient alors légitime. Enfin, le salarié a la possibilité de contester ce test en demandant une contre-expertise, c’est-à-dire un nouveau contrôle d’alcoolémie.
(Source : Gouvernement)
📚 L’alcool en entreprise : ce que dit la législation
La loi (article R.4228-20) autorise uniquement quatre types de boissons sur le lieu de travail : le vin, la bière, le cidre et le poiré.
De plus, l’article R.4228-21 précise qu’il est interdit de permettre l’accès ou le séjour dans les lieux de travail pour toute personne en état d’ivresse.
Pour approfondir le sujet du Dry January et de la santé au travail, voici quelques ressources utiles :
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